Or What You Will

Impur... l'esprit accaparé par ce terme sans appel, je croquais le hall sans réellement faire attention à ce que je faisais, mes gestes mécaniques : je me bornais à dessiner sans ornement les armures que je voyais sans réellement les voir...

Witherby avait insisté pour que je conteste le verdict : « Il commet forcément une erreur ― dites-le lui. Demandez de revoir son jugement. »

Mais comment protester alors que je commençais moi-même à y croire...?

Perdu dans mes propres pensées, je ne vis ni n'entendis l'élève qui avait pénétré le hall...

Valérie venait d'arriver dans cette étrange école et regarder l'endroit avec étonnement, des statues étranges des plantes gigantesques, encore un peu et elle serrât au bout du rouleau enfin quand on n'est pas au bout on prend beaucoup trop de place. Quand au jour d'hier, elle n'osait pas y pensais, les seuls membres de sa famille l'ont envoyé dans un endroit étrange et inconnu, elle découvrit que son père a étais assassiné par sa mère et que son village fut massacré par une bande de lycan. Sa mère lui dit :

- Tu sais Valérie, sur certains côtés ce n'était que de la défense insensée.

Ce fut un étrange jour elle enlevât son Chaperon et vit un portail qu'elle traversât et puis vit des arbres gigantesques, elle vit des couloirs, portes et fenêtres par milliers, elle décidât de visitais le hall des armures et en fit dégringolait une"Oh et bien de toute façon elle étaie déjà bancal, j'ai juste fait maintenant ce qui arrivera plus tard".

Elle vit tous d'un coup un élève elle vit qu'il était occupé, alors, elle cachât sa tête avec son Capuchon et marchât vers la sortie la plus proche... "Au moins aujourd'hui il y a pas de pluie".

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Je reconnus le bruit de ferraille qui heurtait le sol dès les premières notes discordantes ― ce n'était pas la première fois que je l'entendais ; et, comme pour les fois précédentes, je laissai tout en plan pour me précipiter dans le hall des armures.

― Héla, toi, reste ici, veux-tu ! ordonnai-je à la jeune fille qui se barrait sans demander son reste. Vous êtes collés... tous les deux.

Ça vallait également pour Morgan qui... à vrai dire, crayon à la main, carnet dans l'autre, paraissait tous sauf coupable...

...mais...

...les élèves avaient pas mal d'imagination lorsqu'il s'agissait de ne pas se faire chopper et coller...

...quoique Morgan, lui, échappait à la règle lorsqu'il essayait de prendre pour lui les heures des autres ― ou d'Angelus Death, du moins...

De toute façon, je verrais ce qui s'était passé exactement plus tard...

Si je n'avais eu l'esprit aussi pris par les paroles de la gargouille, j'aurais de suite remarqué la jeune fille qui avait pénétré dans le hall ― et peut-être aurais-je pu l'empêcher d'être aussi idiote ― d'être aussi maladroite !

Au lieu de cela, je restais figé sur place, alors qu'une des anciennes armures s'effondrait au sol dans un fracas de métal...

Battement d'aile ― le temps d'assimiler ce qui venait de se passer ― puis je tournai la tête vers l'élève ―

― Are you fucking out of your mind ?

Mais la jeune fille paraissait plus disposer à fuir les lieux au plus vite :

― Au moins, aujourd'hui, il y a pas de pluie, fit-elle en recouvrant sa tête blonde.

Elle était sur le point de ressortir lorsque Bobby Wolfe, apparaissant tout à coup, l'arrêta :

― Héla, toi, reste ici, veux-tu ! ordonna-t-il énervé à la jeune fille.

Je l'aurais été moi aussi ― Erwan, en me bousculant dans le jardin, m'avait plus qu'irrité, surtout lorsque j'avais découvert mon appareil à photo cassé.

« Vous êtes collés..., poursuivit l'homme à tout faire. Tous les deux. »

Huh ?

Qui ça, moi?

J'étais collé à cause de sa maladresse ?

― No fucking way, protestai-je. Il est absolument hors de question que je paie pour elle.

C'était non négociable.

Je partais, aussi bien dans mes pensées, que de cette école. Quand un homme me bouscula, pendant ce laps de temps, je pris mon poignard en argent qui était caché dans ma manche, prête a m'en servir s'il le faillait.

― Héla, toi, reste ici, veux-tu ! m'ordonna-t-il énervé.

Je m'éloignai de quelques pas et serrai fort mon arme, baissant encore plus mon capuchon, ne laissant voir que quelques mèches de cheveux. L'autre élève paraissait surpris.

"Vous êtes collés..., poursuivit l'homme à tout faire. Tous les deux."

Pourquoi est-il collé ? Il n'a rien fait...

― No fucking way, repondit-il.

― I do not speak English, know, quite feathers are not even, répondis-je.

« Je ne parle pas Anglais, sachez, toutes les plumes ne sont pas les mêmes. »

― Mon seigneur, repris-je me tournant vers l'autre homme, on ne coupe pas les fleurs, mais les mauvaises herbes ; il vient à peine d'arriver pendant que moi je voulais fuir pour avoir fait tomber l'armure. Je crois même qu'en voyant ceci, c'est lui qui allais me conduire en colle. Alors, conclus-je en faisant une révérence et enlevant mon capuchon, au lieu de lui lancer des épées, il vaudrait mieux lui lancer des fleurs. Le parfum ne ce mélange pas avec les ordures...

Peut être en avais-je trop fait... Je m'éloignai encore de quelques pas : je devais pouvoir être capable de fuir avec l'autre élève et poignarder l'homme, peut être même au coeur ― seul le temps nous le dirait.

Je levai un sourcil ― I do not speak English, know, quite feathers are not even...?

Translation ?

Mais avant même que je ne cherche à décrypter son étrange phrase, elle reprit la parole ― en français... quoique j'eus quelques doutes, ne saisissant quasiment rien à son monologue :

― Mon seigneur, apostropha-t-elle Bobby Wolfe. On ne coupe pas les fleurs, mais les mauvaises herbes ; il vient à peine d'arriver pendant que moi je voulais fuir pour avoir fait tomber l'armure. Je crois même qu'en voyant ceci, c'est lui qui allais me conduire en colle. Alors, conclus-je en faisant une révérence et enlevant mon capuchon, au lieu de lui lancer des épées, il vaudrait mieux lui lancer des fleurs. Le parfum ne ce mélange pas avec les ordures...

Me lancer... des épées ? Des fleurs ?

Je détachai mon regard de la demoiselle, me demandant si l'homme à tout faire avait compris, lui...

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― Les élèves deviennent de plus en plus altruistes les uns envers les autres, fis-je en l'entendant décharger le jeune homme au carnet de croquis. Ton influence, Morgan ?

Ce dernier n'eut pas l'air de saisir mon allusion à sa demande vis à vis de la colle d'Angelus, il y avait quelques semaines... pas très grave.

« Tu peux y aller, » lui dis-je.

J'attendis qu'il sortit du hall avant de me tourner vers la jeune fille :

« Ces armures sont des pièces anciennes, fis-je remarquer. Des pièces fragiles. Pour la peine, tu vas m'aider à remonter celle-ci... »

― Les élèves deviennent de plus en plus altruistes les uns envers les autres, fit-il en m'entendant protéger l'autre élève. Ton influence, Morgan ?
« Tu peux y aller »

Au moins j'ai pu le sauver, je pourrais aussi poignarder l'autre homme pour m'enfuir ? Et je sais aussi maintenant que l'autre élève s'appelait Morgan, je gardais toujours mon poignard, mais décider finalement de le ranger dans ma manche.

« « Ces armures sont des pièces anciennes. Des pièces fragiles. Pour la peine, tu vas m'aider à remonter celle-ci... » »
-Je vous aiderez fort bien, mais serait-il plus judicieux de me laisser le faire et de se contenter à m'observer ?

J'attendais sa réponse et moi je remontai déjà quelque pièce en chantant a voie basse, ma comptine habituel." La petite est morte, la grande est décapitée, la gentille est étouffée, la méchante est brulée, entrons tous dans la valse des morts, encore et encore. Connaissez vous l'histoire ? Normal pour la voire il faut la croire, c'est l'histoire du Chaperon rouge, mais on a il faut qu'on bouge, car derrière nous ; est le loup " .

J'avais été alerté d'un danger et me rendais sur le lieu pour intervenir.

Une armure - une des plus vieilles pièces de ma collection, datant de 1154 - était en pièce. J'aperçus Bobby Wolf observant avec un regard mécontent une silhouette encapuchonnée de couleur rouge sang.

C'était précisément pour celle ci que je venais. Je vis aussi M. Le Fay, toujours aussi droit et mystérieux, se tenant un peu à l'écart. Je lui adressai un signe de tête, tout en me remémorant ce qu'il s'était passé lors de notre dernière entrevue.

- Mademoiselle Browner, fis-je d'une voix posée, pouvez-vous me donner ce que vous avez caché dans votre manche ?

Je ne compris pas non plus ce que Bobby Wolfe entendait par "mon influence" mais je ne m'attardai pas pour le savoir !

Je rangeai rapidement mon carnet et mon crayon, m'apprêtant à quitter les lieux, lorsque Merlin pénétra à son tour dans le hall ; j'eus droit à un hochement de tête lorsqu'il me remarqua. Je lui aurais certainement adressé un sourire teinté de provocation si je n'étais perturbé...

...impur ― je n'arrivais pas à me l'ôter de la tête ! Très certainement lié à mon passé ― ma vie avant mes cinq ans...

Finalement, je sortis, tête baissée, n'ayant qu'une seule envie : retrouver Angel.

- Mademoiselle Browner, fis-je d'une voix posée, pouvez-vous me donner ce que vous avez caché dans votre manche ?
-Bien sûr ! Lui donnant mon poignard en argent. Ceci est un poignard en argent du 11 siècles, fait par des nains aveugles que ma grand-mère ma donnée pour me protéger des inconnus ou "personne" que je ne connais pas. Valérie Browner, nouvelle élève a Brocéliande, je vous pris de m'excuser de la maladresse dont j'ai fait preuve. Pour m'excuser je serais ravie de remettre cette ancienne armure en place.

J'attendais alors une réponse de l'homme vert émeraude.

La jeune fille ne discuta pas et vînt me donner son poignard tout en me racontant son histoire :

- Bien sûr ! Ceci est un poignard en argent du onzième siècle, fait par des nains aveugles que ma grand-mère ma donné pour me protéger des inconnus ou "personnes" que je ne connais pas. Valérie Browner, nouvelle élève a Brocéliande, je vous pris de m'excuser de la maladresse dont j'ai fait preuve. Pour m'excuser je serais ravie de remettre cette ancienne armure en place.

Le poignard, léger, était finement travaillé et ne portait aucune usure de temps - une très belle pièce.

- Bien, mademoiselle Browner, repris-je, vous le récupérez à la fin de l'année. Les armes sont interdites à l’École, pour des raisons que vous connaissez déjà. Je compte sur vous pour remettre sur pied cette armure. M. Wolfe, mademoiselle.

Après les avoir salué de la tête, je retournai sur mes pas.

- Bien, mademoiselle Browner, repris-je, vous le récupérez à la fin de l'année. Les armes sont interdites à l’École, pour des raisons que vous connaissez déjà. Je compte sur vous pour remettre sur pied cette armure. M. Wolfe, mademoiselle.

Il le prit et faisa signe de la tête a nous puis partie, qu'elle étrange personnage. Me tournant vers "M. Wolfe"

- ALors, que fait-on ?

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― On ramasse les pièces, dis-je. Demain, 16h30, tu reviens ici. J'espère que tu aimes les puzzles !

- J'espère que vous vous aimez arriver a l'heure!